PRÉSENTATION DU SITE
 

 

Ce moulin abrite un écomusée dédié à la vie quotidienne des paysans champenois au début du XXᵉ siècle. Six salles aménagées au rez-de-chaussée permettent de visualiser les outils et les informations sur les thèmes des travaux des champs, des vignes et des bois, de la transformation des produits.
Vous y découvrirez un alambic itinérant, un four à pain, une laiterie, ainsi qu’une des plus grandes roues à augets de France en intérieur avec ses 8 mètres de diamètre.
Des salles d'expositions permettent l'organisation de manifestations culturelles et artistiques de grande réputation.

POUR VOUS AIDER

 

Situation nationale
La situation nationale

Situation localeLa situation locale

LE MOULIN D'EN HAUT
4, rue du moulin
51700  DORMANS
Tél. 03 26 58 85 46
SITE WEB

 HÔTEL DE VILLE DE DORMANS
Place du Général de Gaulle
51700 Dormans
Tél. 03 26 58 21 45
SITE WEB

 

LÉGENDE DES ARMES DE DORMANS

 

Ces armoiries furent données à la ville de Dormans par le roi CHARLES IV, avec la devise « vigilantia », peut-être par opposition au nom de la commune.

En voici la description précise :

« Un écu de forme ovale au champ d’azur, posé sur un cartouche, rempli de fleurs de lys d’or et demi-fleurs sur les bords, au coq d’argent, hardi, chantant et armé de gueules.

Timbré d’une couronne de marquis, surmonté d’un ange descendant les ailes déployées, tenant des deux mains un listel allant au gré du vent et portant la devise Vigilantia en lettres de gueules sur fond d’or.

Deux léopards lionnés d’or et lampassés de gueules, supportent l’écu, en appui sur une sorte de terrasse de sinople, dans laquelle sont ajoutées les Croix de Guerre 14-18 avec palme et 39-45 avec étoile de bronze. »

 

 

L'ENTRÉE DU MOULIN D'EN HAUT

 PRÉSENTATION DU MOULIN

 

Situé à l'intérieur d'un superbe parc de 20 hectares, le Moulin d'en Haut est un extraordinaire centre d'intérêts.

Il était lié au château de Dormans et l'ensemble des bâtiments a été réhabilité afin d'être utilisé pour des manifestions variées.

Il est à noter que les bâtiments sont du XVII et XVIII siècle.

Le moulin qui a cessé ses activités au début du siècle dernier a fait l'objet de reconstitution à l’origine après des recherches minutieuses.

À noter aussi l’existence d'une roue à augets superbe. C'est un équipement presque unique qui fait 8 mètres de diamètre, elle est peut-être la plus grande roue de ce type en France.

 

LE MUSÉE

 

Cet ensemble implanté au rez-de-chaussée du Moulin se veut être non seulement un lieu d'exposition d'outils, mais aussi un lieu de rencontres entre passé et présent, témoignages de ce que furent les pratiques rurales agraires depuis un siècle. Les outils et machines présentés sont le fruit de dons et de prêts de personnes de la région, ainsi la Remise aux Outils Champenois recueille, met en valeur et expose ces différents outils par centre d'intérêt dans les salles que comporte actuellement le musée.

   

 

LE CHÂTEAU DE DORMANS

 

À la fin du XIIIe siècle apparaît dans les actes un certain Jean de Dormans, seigneur de Dormans. En 1373 meurt Jean II de Dormans, avocat, chanoine, cardinal, et évêque de Beauvais, chancelier de France. Son frère Guillaume de Dormans lui succéda comme seigneur, et comme Chancelier de France, en 1373.

Cette famille s'éteignit à Dormans au XVIe siècle, en la personne de Renault de Dormans, dont la fille épousa Jacques de Laon. Leur fille épousa à son tour Claude d'Ancienville, à qui elle apporta le domaine. Au XVIIe siècle, le château appartenait à Michel Larchet d'Olisy, président de la Chambre des comptes.

En 1642, Charles de Bullion devint seigneur, mais mourut peu après. Sa veuve vendit Dormans à Henri de Bourbon, prince de Condé, premier prince du Sang, également seigneur voisin, puisqu'il possédait le Château de Condé, situé à quelques kilomètres de Dormans.

En 1646, son fils Louis de Bourbon, duc d'Enghien, en hérita avec le reste des biens de sa lignée, puis il passa au frère cadet de ce dernier, le prince de Conti, Armand de Bourbon-Conti.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Dormans#Historique

LA PHOTO DU JOUR

 

 C’est une baratte à beurre ancienne 🧈—un outil traditionnel utilisé pour fabriquer du beurre à partir de crème. Celle-ci est de type « tonneau » : la crème était versée dans le baril en bois, puis on tournait la manivelle pour faire pivoter le baril. Ce mouvement agitait la crème jusqu’à ce qu’elle se transforme en beurre, qui s’écoulait ensuite dans le seau métallique placé en dessous.
Ce genre d’équipement était courant dans les fermes avant l’arrivée des machines modernes. Il incarne un savoir-faire artisanal et une époque où la production alimentaire se faisait à petite échelle, souvent en famille. Tu t’intéresses à l’histoire rurale ou à l’artisanat ancien ?

L'ALBUM PHOTOS

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L'APERÇU DE L'ALBUM PHOTO

 

 

LE PRESSOIR A RAISIN

 

Ancien moteur SOMUA LUNS, compagnon des vignes d’antan

 

Un petit ru traversant la propriété

 

MACHINE A EMBOUTEILLER

 

 

LE COIN DES GOURMANDS

 

Aujourd'hui, LA CACASSE A CUL NU

 

Cette fricassée de pommes de terre est une recette typiquement populaire du département des Ardennes. "A cul nu", signifiait qu'il n'y avait pas de viande dans le plat. Mais de nos jours, la Cacasse se prépare le plus souvent avec de la viande.

INGRÉDIENTS

    • Pomme(s) de terre 1,5 kg
    • Lard maigre en tranche(s) 200 g
    • Oignon(s) 2
    • Huile 1 dl
    • ...

DÉROULEMENT DE LA RECETTE

  •  
    Faites revenir le lard dans une cocotte en fonte. Retirez-la et ajoutez l'huile.
    Mettez les oignons coupés en petits morceaux et laissez-les blondir.
    Mettez les pommes de terre, remuez, mouillez avec de l'eau, jusqu'à 1 cm des légumes.
    ...

    CONFRÉRIE DE LA CACASSE A CUL NU

    Sous cet intitulé qui prête à sourire se cache l’un des plats les plus emblématiques des Ardennes, à savoir une fricassée de pommes de terre cuites avec du saindoux, dans une cocotte en fonte, à laquelle on ajoute des oignons, du thym, du laurier et de la farine pour faire un roux.

    Elle était dite à cul nu car elle ne comportait pas de viande. Autrement dit, il s’agissait d’un plat du pauvre. Aujourd’hui, la cacasse se prépare avec des tranches de lard et des saucisses et la confrérie a sa propre recette, qui bénéficie du label Ardennes de France, qu’elle propose en bocaux lors des manifestations auxquelles elle participe. Vous pouvez vous rendre sur leur site à cette adresse : https://www.festivaldesconfreries.com/confrerie-cacasse-a-cul-nu/
     

https://www.cuisineaz.com/recettes/cacasse-a-cul-nu-50930.aspx

 

 

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