UN PETIT VILLAGE DEVENU GRAND

 

St Jean de Luz, cité corsaire du Pays-basque, est assurément l'une des plus connues de toutes les villes ou les villages des Pyrénées-atlantiques. Autrefois réputée pour la hardiesse de ses marins et armateurs, la ville de Saint-Jean de Luz évoque plutôt aujourd'hui la douceur de vivre, le voyage et le tourisme des séjours sur sa baie d'une rare beauté.

Cité royale, cité portuaire, station balnéaire, vous allez découvrir toutes les facettes de Saint jean de luz à votre rythme, au gré de vos envies. Si vous souhaitez en savoir plus, l'office de tourisme, du commerce et de l'artisanat de Saint Jean de Luz vous propose des visites guidées : cœur de ville le jeudi des vacances scolaires, le littoral un mardi sur deux en saison, la chasse au trésor pour les enfants les mercredi et vendredi.

 

POUR VOUS AIDER - NÉCESSAIRE

 

Situation locale

Situation nationale

 

Office de Tourisme de Saint-Jean-de-Luz
20, Bd Victor Hugo
64500 Saint Jean de Luz
Tél : (33) 05.59.26.03.16

 SITE WEB

 Hôtel de Ville
Place Louis XIV
B.P. 229
64502 Saint-Jean-de-Luz cedex
Standard téléphonique : 05 59 51 61 71

SITE WEB

LA SIRENE DE SAINT-JEAN-DE-LUZ

 

Il était une fois, il y a des siècles, dans le port de Saint-Jean-de-Luz, un marin nommé Iban, connu pour son courage et sa bravoure. Il était le dernier descendant d’une lignée de pêcheurs qui avaient toujours veillé sur la mer et ses mystères. Mais ce qui rendait Iban spécial, c’était sa rencontre avec une créature légendaire, un être des profondeurs, que les anciens appelaient la Sirène d’Orbello.

Chaque soir, lorsque le soleil se couchait derrière les montagnes, une étrange lumière filtrait à travers les vagues, comme si la mer elle-même était en feu. Les pêcheurs racontaient que cette lumière venait des profondeurs, là où les courants étaient les plus forts et les eaux les plus sombres. On disait qu’une sirène, aussi belle qu’effrayante, vivait là, protégeant un trésor légendaire que nul n’avait osé chercher.

Iban, audacieux et curieux, n’avait que faire des avertissements des anciens. Il se rendit sur son petit bateau de pêche au cœur de la nuit, décidé à découvrir ce qu’était réellement cette lumière. Il n’avait pas peur des créatures marines, et la mer semblait être son amie fidèle. Ce soir-là, la mer était calme, mais l’air portait une étrange mélodie, un chant doux et envoûtant qui se répandait sur les vagues.

https://www.paysbasque1900.fr/2025/01/la-legende-de-la-sirene-de-saint-jean.html

 

LA PLACE LOUIS XVI ET LA MAISON DU ROI LOUIS XIV

LES BASQUES SUR LES OCÉANS

 

En 1520, Saint-Jean-de-Luz armait déjà depuis longtemps des navires pour la pêche de la baleine. 

Les Basques de cette côte sont les premiers navigateurs de l'Europe, qui aient osé attaquer ce grand mammifère marin et dont les approches sont si redoutables. Seuls ils en exercèrent la pêche pendant longtemps. Les baleines abondaient alors dans le golfe de Gascogne, et particulièrement dans la baie de Saint-Jean-de-Luz, où elles paraissent vouloir revenir de temps à autre. Pour les combattre, les Escuadunacs inventèrent le harpon, le trident, tous les instruments en usage dans cette guerre terrible. Ils ne se servirent, au début, que de petites barques ; plus tard, ils montèrent de gros navires. Rien n'indique que Bordeaux ni les autres ports de France aient pris part à ce mouvement ; mais Bilbao, Saint-Sébastien, Hendaye, Urrugne, Ciboure, Saint-Jean-de-Luz, Bayonne, et surtout Biarritz, devinrent autant de pépinières de marins intrépides, dont les embarcations couvrirent la mer jusqu'au cap Finistère en Espagne. Tout ce littoral, parsemé de vigies et de fours à fondre la graisse, en conserve le souvenir.

https://cosmovisions.com/monuSaintJeanLuz.htm

L'EGLISE SAINT-JEAN-BATISTE

 

Au XIIe siècle, une église romane est déjà en place et est le centre d’unÉglise de Saint-de-Luz petit bourg construit entre la mer et les marais. Au cours des nombreuses invasions espagnoles durant la guerre de Cent Ans, l’église est touchée en 1419. Rendue gothique, l’église sera ruinée en 1523, 1542 et 1558.

Le 5 décembre 1630, la communauté de Saint-Jean-de-Luz décide d’agrandir l’église qui est devenue trop petite pour les 12.000 habitants de la ville. La ville rendue prospère par la chasse à la baleine, la pêche à la morue et le commerce des Antilles.

Mais les travaux vont durer près de 50 ans…

 

http://www.cestenfrance.fr/eglise-saint-jean-baptiste-saint-jean-de-luz/

 

UNE PETITE VIDÉO SUR SAINT-JEAN-DE-LUZ

 

LA MAISON DU ROI LOUIS XIV

 

Lohobiague-Enea, qui en basque, signifie "de où chez Lohobiague", fut construite par Joannis de Lohobiague, riche armateur, et Marie-Sol de Hirigoyen, sa femme, sur un terrain acquis en bordure d'un vaste esplanade servant de place à la ville, à l'entrée du pont de bois qui conduisait à Ciboure.    Cette maison noble est bâtie comme une maison traditionnelle basque. Mais son architecture extérieure est élégante et distinguée, dans le style très classique de l'époque, où l'harmonie résidait dans une symétrie bien proportionnée.   La façade principale, en pierre, dite façade Louis XIII, donne sur la place.   L’autre façade, côté sud, avec ses deux étages de galeries à colonnes de pierre, de type navarrais, donne sur le port.    On ne visite que le deuxième étage.   C'est l'étage noble où résidait le maître de maison et chef de famille, et qui comportait les pièces de réception.   Le cadre est resté le même, soigneusement conservé et entretenu par la famille qui l'habite encore aujourd'hui et qui descend de celle qui fit édifier la maison. La décoration

http://www.maison-louis-xiv.fr/la-maison-de-l-armateur,240,fr.html

LA MAISON DE L'INFANTE

 

Sur les quais se trouve une maison toute rose surmontée de tours avec une façade toute en brique et pierre flanquée de galeries à arcades… en un mot, la maison de l'Infante ! Construite au tout début du XVIIe siècle, elle a, comme la maison Louis XIV, un style plutôt atypique pour la région basque !
On la connaît aussi ici sous le nom de maison Haraneder, maison Joanoënia ou château de l'Infante. Jean Haraneder, un riche armateur, est le descendant d'une vieille famille originaire de Ciboure (Pyrénées-Atlantiques). Le môssieur a fait fortune grâce aux bateaux baleiniers qui partent alors en masse chasser le cétacé dans les eaux de l'Atlantique.

https://fr.anecdotrip.com/marie-therese-d-autriche-l-infante-a-saint-jean-de-luz-par-vinaigrette

LES BEAUTÉS DE LA NATURE

 

Il y a plus de 350 volcans de boue dans ce pays du Caucase. Ces grands monticules gris, qui rappellent davantage les geysers que les volcans auxquels nous sommes habitués, sont de tailles variables, et certains sont plus actifs que d’autres.

Il est possible de se baigner dans certains volcans de boue plus tempérée, et ces derniers sont même étudiés par la NASA en raison de leur similarité avec des phénomènes géologiques présents sur Mars.

https://ici.exploratv.ca/blogue/7-merveilles-naturelles-decouvrir-exploration/

 

L'ALBUM PHOTOS DE LA VISITE

 

UN CLIC SUR LE BOUTON CI-DESSUS POUR OUVRIR L'ALBUM DES PHOTOS

 

UNE DES DIGUES SUR L'OCEAN
LA PROMENADE LE LONG DE L'OCEAN
LE PORT DE SAINT JEAN DE LUZ
LA MAISON DU ROI LOUIS XIV
CI-DESSUS UN APERÇU DE L'ALBUM PHOTOS
LE COIN DES GOURMANDS

 

La recette du jour : BRICKS AU THON, POMMES DE TERRE ET OLIVES


INGRÉDIENTS :

  • 1 paquet de feuilles de brick
  • 2 boîtes de thon au naturel
  • 6 olives noires
  • 2 pommes de terre cuites (taille moyenne)
    ...

PRÉPARATION

1. Égouttez le thon et émiettez-le dans un saladier.

2. Coupez les olives, les pommes de terre cuites et le persil en petits morceaux et ajoutez-les au thon.

3. Ajoutez-le de gruyère râpé, l'œuf, une pincée de sel et de poivre.

4. Mélangez le tout.
...

 

https://www.jeandeluz.com/blogs/les-recettes-de-jean-de-luz/bricks-au-thon-pommes-de-terre-et-olives

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