PRÉSENTATION DU DE GAUJAC

 

Situé sur le passage de la voie romaine de Nîmes à Aubenas, Gaujac fut autrefois le siège d’une commanderie de Templiers. Son oppidum, dont on admire encore les vestiges, atteste de traces d’habitat dès le IIème siècle av. J.C. Les fouilles du site ont permis de mettre à jour des monnaies et des poteries. Il offre l’un des plus beaux panoramas en Provence Occitane.

Les fouilles du site ont permis de mettre à jour des monnaies et des poteries.

POUR VOUS AIDER

 

La situation locale

La situation nationale

 

Office de Tourisme des Bastides Dordogne-Périgord - Bureau d'Information Touristique de Monpazier
 Place des Cornières
24540 Monpazier
 

Tél.  05 53 22 68 59
SITE WEB

HÔTEL DE VILLE
 1 Rue Galmot
24540 Monpazier

Tél.  05 53 22 60 38
SITE WEB

 

L'HISTOIRE DE MONPAZIER
 

 

Après que le roi Louis IX a reçu l'hommage-lige d'Henri III d'Angleterre, le , le traité de Paris est signé par lequel le roi de France confirme à Henri III la possession du Limousin, du Périgord, du Quercy, l'Agenais, et d'une partie de la Saintonge, mais conserve par ailleurs la Normandie et les pays de Loire (Touraine, Anjou, Poitou et Maine). Après la mort d'Alphonse de Poitiers sans enfant, Philippe III le Hardi, roi depuis la mort de son père, Louis IX, à Tunis, hérite du comté de Toulouse, du Poitou et d'une partie de l'Auvergne. Au traité d'Amiens, le , il doit céder l'Agenais, la Saintonge et le Ponthieu au roi d'Angleterre Édouard Ier. À la mort de son frère, Pierre, en 1283, Philippe III, hérite du comté du Perche et du comté d'Alençon

https://fr.wikipedia.org/wiki/Monpazier#Histoire

 

 

LA PLACE DE MONPAZIER AVEC SA HALLE (Utilisez votre souris pour voir)
L'ÉGLISE SAINT-DOMINIQUE

 

Située sur la commune de Monpazier, en Dordogne, l'église Saint-Dominique a été construite au XIIIe siècle sur une ancienne chapelle romane dont elle a conservé plusieurs éléments. Classée aux Monuments Historiques, elle a connu plusieurs modifications au fil des siècles, prenant peu à peu l'aspect qu'on lui connaît aujourd'hui.

Elle a notamment vu l'ajout d'une troisième chapelle au XVe siècle, ainsi que la construction d'un clocher au XVIe. À l'intérieur, l'édifice dévoile à ses visiteurs des colonnes romanes de transept culminant à près de vingt mètres avec des chapiteaux sculptés, ainsi que de très belles stalles de style gothique flamboyant. Ses fonts baptismaux du XIVe siècle font également l'objet d'un classement aux Monuments Historiques.

 

https://www.france-voyage.com/villes-villages/monpazier-6153/eglise-saint-dominique-17811.htm

À PROPOS DE MONPAZIER

 

Labellisée « Un des Plus Beaux Village de France », la Bastide de Monpazier séduit par son cachet exceptionnel ; elle est restée presque intacte depuis sa fondation en 1284 – au nom du roi Edward Ier d’Angleterre.

Considérée comme la Bastide « modèle » au tracé orthogonal parfait, elle influença le style des plus grands architectes.

Déambulez le long de ses ruelles, flânez sous les arcades et découvrez…

https://www.pays-bergerac-tourisme.com/fr/decouvrir/villages-pittoresques-et-bastides/monpazier

LE BASTIDUM

 

Le Bastideum vous accueille au sein de l’ancien couvent des Récollets, construit au milieu du XVIIe siècle, et vous propose de plonger dans l’histoire des bastides. Découvrez ces villes nouvelles du Moyen Âge à partir d’un des plus beaux exemples que conserve le Sud-Ouest de la France : Monpazier. Le Bastideum fait appel à une scénographie moderne et ludique pour une expérience immersive. Il y est question de la vie locale, des paysages, de l’occupation du territoire avant l’apparition des bastides et du développement de ces villes nouvelles autour de la vallée du Dropt, grâce à des interviews d’historiennes et d’historiens et d’archéologues...

 https://www.bastideum.fr/

LA PLACE DES CORNIÈRES

 


Fondée en 1284 par le roi anglais Édouard Ier, Monpazier est l’une des bastides les mieux préservées de France. La place des Cornières, cœur battant de cette petite ville médiévale, est entourée d’arcades et de maisons anciennes dont la beauté captive les passionnés d’histoire et d’architecture. Chaque pierre de cette place semble raconter une histoire, des marchés animés d’antan aux secrets bien gardés des bâtisseurs du Moyen Âge. C’est un lieu où le temps semble s’être arrêté.

 https://www.voyageurserein.com/on-part-ou/14247-la-place-des-cornieres-de-monpazier-les-histoires-medievales-et-les-secrets-architecturaux/

MONPAZIER EN VIDÉO

 

POUR GOURMANDS

 

Aujourd'hui, POULET CHÂTAIGNÉS ET OLIVES

 

Le châtaignier était appelé l'arbre à pain. La châtaigne a sauvé de nombreuses personnes de la famine. Nos aïeux les plus pauvres devaient souvent leurs survies hivernales à ces châtaignes récoltées à l'automne. Reconnue puis délaissée, elle se retrouve dans notre alimentation moderne. Elle est fréquemment à l'honneur dans nos fêtes de fin d'année pour accompagner la dinde. Mais pourquoi attendre si longtemps ? À partir de fin septembre, la cueillette commence. 

INGRÉDIENTS

  • 2 cuisses de poulet
    250 g de châtaignes
    1 échalote
    20 olives noires
    sel et poivre
    Thym
  • ...

PRÉPARATION

  •  

    Cuire les châtaignes dans de l'eau bouillante (environ 15/20 minutes)

    Préchauffer le four à th.8 (240 °C)

    Mettre de l'ail dans les cuisses de poulet, saler et poivrer

  • ...

https://www.pays-bergerac-tourisme.com/fr/blog/la-chataigne-dans-vos-assiettes

 

LA PHOTO DU JOUR  

 

 

L'ALBUM PHOTOS DE LA VISITE
 

 

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Situé sur le passage de la voie romaine de Nîmes à Aubenas, Gaujac fut autrefois le siège d’une commanderie de Templiers. Son oppidum, dont on admire encore les vestiges, atteste de traces d’habitat dès le IIème siècle av. J.C. Les fouilles du site ont permis de mettre à jour des monnaies et des poteries. Il offre l’un des plus beaux panoramas en Provence Occitane.

Les fouilles du site ont permis de mettre à jour des monnaies et des poteries.

SITUATION DE GAUJAC   RENSEIGNEMENTS DIVERS ET UTILES   LA LÉGENDE DU BŒUF QUI VOLE (légende du Gard)

Situation locale

Situation nationale

 

HÔTEL DE VILLE
Place de la Liberté
30330 Gaujac
Tél. 04 66 82 00 91
SITE WEB

 

OFFICE DE TOURISME
Place Du Jeu De Paume
30760 Aiguèze

Tél. +33 (0)4 66 39 26 89
SITE WEB

 

 

 

La légende du "bœuf qui vole" ("volo biòu" en occitan) prend corps aux alentours du XIIe siècle, à Saint-Ambroix (Gard). Tout commence par un bienfait de la nature qui se transforme en désastre potentiel. Les vignes, cette année là, avaient beaucoup donné. Une grande quantité de raisins fût récoltée. Tant est si bien que la quantité de vin produite dépassait le nombre de récipient disponibles. Le divin breuvage se mettait à tourner et avait moisi.
Pour éviter le désastre, le consul du village eut une idée géniale, quoi qu'un tantinet malhonnête. Il fit répandre le bruit, qu'à heure dite, un bœuf serait jeté dans les airs et qu'il volerait. De quoi exciter la curiosité de la population. Une foule plus occupée, en la circonstance, à espérer voir voler un animal plutôt que d'apprécier la qualité du breuvage ingurgité. Et plus c'est gros, plus ça passe. Le "fameux" bœuf fût propulsé dans les airs depuis le sommet d'une colline. La légende dit qu'il s'écrasa, mais que la population but le vin, tout le vin. Le récit ne dit pas quels furent les conséquences de l'opération sur l'appareil digestif des curieux. Toujours est-il que depuis cet épisode, tous les 14 juillet, Saint-Ambroix perpétue cette légende en offrant à boire du vin. Du vrai, du bon vin.

Médiévale du Volo Biòu - Gard
La légende du bœuf volant
A Saint-Ambroix, les 13 et 14 juillet, le petit village médiéval se pare de ses plus beaux atours moyenâgeux et occitans et vous propose de revivre une légende insolite, la légende du Volo Biòu, la légende du bœuf qui vole ! Durant deux jours dans les rues de la jolie cité cévenole, vous serez immergés dans le passé : troubadours, jongleurs et saltimbanques, spectacles de feu, campements, marché médiéval théâtre de rue, déambulations, échassiers fantastiques, animations occitanes, parades, envol du bœuf… Un voyage à travers le temps pour petits et grands…

Église saint Martin

LES THERMES ROMAINS DE GAUJAC (patrimoine classé)

L'oppidum était connu de longue date, Bourrilly et Mazauric signalant en 1911 dans une synthèse sur les enceintes pré- et protohistoriques du département du Gard, les " vestiges considérables d'un oppidum" à St Vincent. Les thermes ont été découverts par Jean Charmasson, premier fouilleur de l’oppidum, et Dominique Cannaud, en 1974. Ils ont été fouillés dans leur totalité par les équipes de la Société d’Étude des Civilisations Antiques de la Basse vallée du Rhône (SECABR) sous la direction de Jean Charmasson avec la collaboration de Dominique Cannaud, de 1975 à 1984, de 1984 à 1988 et en 1998.

L'Oppidum (site fortifié, en un lieu élevé) de Gaujac, est situé au sommet de la colline Saint Vincent (Alt. 270m) et domine une vaste plaine où se rejoignent les Vallées de la Tave et de la Veyre, noms des deux rivières qui coulent dans la plaine.

Vers la fin du VIe siècle avant J.C., quelques hommes viennent s'installer sur cette colline.
Vers 425, la population venue en nombre, fonde l'Oppidum et bâtit une enceinte. Le lieu est abandonné au IVe siècle.
Quelques objets attestent la présence de l'homme aux III et IIe siècles avant J.C. (tessons de poterie, blocs de pierre de taille).
Oppidum Saint Vincent
A partir des années 80-70 avant J.C., la population s'accroît. La ville est un point clé concernant le commerce. Les défenses sont renforcées par l'édification d'une Tour au Nord de l'entrée occidentale. Vers la fin des années 40 avant J.C., la ville devient chef-lieu de Cité. Sont érigés successivement plusieurs monuments.
Au Ve siècle, les populations fuyant les Wisigoths y trouveront refuge. Au XIIe siècle, un petit village s'installe.
Il semble que les derniers occupants aient été des tailleurs de pierre.

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ÉGLISE SAINT-MARTIN

Imposante église Saint Martin construite sur un promontoire à la fin du XIX ème dans le style néo-gothique avec un clocher carré surmonté d'une flèche. L'architecte a apporté un grand soin à sa construction : alternance de bandeaux briques et pierres en façade dans le plus pur esprit saint-sulpicien.


L'oppidum de Gaujac

LA CHAPELLE SAINT SATURNIN

La chapelle Saint-Saturnin de Gaujac date du XIe siècle.

Elle porte le vocable de Saturnin de Toulouse (Saturnius en latin, Sarni en langue d’oc, francisé en Sernin), premier évêque de Toulouse et martyr, mort en 250.

En 1863, on a trouvé dans la chapelle un autel gallo-romain de la fin du IIe siècle ou du début du IIIe siècle (conservé au Musée archéologique de Bagnols-sur-Cèze) encadré de moulures et portant l'épitaphe en latin de Lucius Tacitius Severus que l'on peut traduire par « Aux dieux Mânes de Lucius Tacitius Severus, Lucius Tacitius Ianuaris, Lucius Tacitius Severinus, Lucius Tacitius Sextus, au meilleur des pères ».

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